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Ostéopathie et grossesse

Quel est l’intérêt de l’ostéopathie pour la future maman ?
Toutes les mamans le diront, la grossesse provoque de nombreux changements corporels, entraînant aussi pas mal de désagréments. Et pour y faire face, l’ostéopathie peut s’avérer efficace. Elle va en effet aider le corps à s’adapter progressivement à ses modifications en relâchant les tensions accumulées. Grâce à une approche globale du bassin, du diaphragme, du crâne ou encore du thorax, le spécialiste va ainsi proposer un équilibre à votre corps en libérant les zones de restriction qui provoquent des douleurs. Par des gestes très doux, l’ostéopathe permet à votre organisme de s’ajuster à votre état et d’assurer une meilleure fonctionnalité de tous vos organes.

Quels maux l’ostéopathie peut-elle soulager ?
Lombalgie, sciatique, reflux gastriques, constipation, hémorroïdes, problèmes de circulation, troubles du sommeil… Ces symptômes sont malheureusement le lot de nombreuses femmes enceintes. La majorité des médicaments étant à proscrire pendant la grossesse, les futures mamans ont tendance à accepter ces désagréments alors que l’ostéopathie peut permettre de les soulager. Pour apaiser un mal de dos, par exemple, l’ostéopathe va préparer la zone douloureuse par des techniques douces pour détendre les ligaments, la structure osseuse et les tissus. Concernant les reflux gastriques, le travail se fera plus précisément sur l’estomac, l’œsophage et le diaphragme. C’est un travail qui tient compte de la globalité du corps, le tout se réalisant en douceur.

Quand consulter un ostéopathe ?
Les futures mamans consultent en général à partir du quatrième mois de grossesse, lorsque l’utérus devient plus volumineux et que les ligaments commencent à tirailler. Une consultation lors des septième ou huitième mois peut aussi permettre d’aider le bébé à se mettre dans l’axe et préparer la maman à un accouchement plus serein. Sachez qu’une seule séance peut parfois suffire à vous soulager. En fonction de vos symptômes, l’ostéopathe vous dira s’il est préférable de revenir le voir ou pas.

Source http://www.infobebes.com

Attention, une séance d’ostéopathie ne remplace en aucun cas les cours de préparation à l’accouchement.

Asthme et nutrition

Le développement de l’asthme et l’appauvrissement des régimes occidentaux en fruits et légumes pourraient être liés : d’après des chercheurs suisses qui publient leurs résultats dansNature Medicine, le manque de fibres favoriserait la réaction allergique dans les poumons.

Les fibres alimentaires sont des molécules de polysaccharides qui ne peuvent pas être digérées par les enzymes digestives. Elles proviennent de fruits et légumes frais et secs, ou de céréales complètes. Les fibres favorisent le transit intestinal et un bon état de santé général.

Des chercheurs du centre hospitalier universitaire de Lausanne, de l’école polytechnique de Lausanne, de Nestlé et de Novartis ont étudié l’influence des fibres sur la réaction allergique. Ils ont travaillé sur des souris qui ont suivi un régime standard avec 4 % de fibres, ou un régime pauvre en fibres avec seulement 0,3 % de fibres. D’après les auteurs, cette alimentation pauvre en fibres était comparable à un régime occidental qui ne contiendrait pas plus de 0,6 % de fibres en moyenne.

Quand les chercheurs ont exposé les souris à un extrait d’acariens, celles qui avaient suivi un régime pauvre en fibres ont développé une réaction allergique plus forte ; elles avaient plus de mucus dans les poumons que les souris témoins. A l’inverse, les fibres alimentaires avaient un effet protecteur chez des souris qui suivaient un régime enrichi en fibres.

Une fois dans l’intestin, les fibres subissent une réaction de fermentation réalisée par des bactéries qui les transforment en acides gras à chaînes courtes. Ces molécules passent dans le sang et influencent le développement des cellules immunitaires de la moelle osseuse. Attirées par les molécules allergènes de l’extrait d’acariens, les cellules immunitaires se déplacent vers les poumons où elles activent une réponse allergique ; cette réaction serait atténuée en présence de nombreux acides gras à chaînes courtes dans le sang.

Dans cette étude, les souris nourries avec un régime riche en fibres avaient des niveaux d’acides gras courts augmentés dans le sang ; elles étaient protégées contre l’inflammation allergique des poumons. Inversement, un régime pauvre en fibres a diminué les niveaux d’acides gras courts dans le sang et augmenté les symptômes de la maladie allergique. Les systèmes immunitaires de la souris et de l’homme étant proches, les mêmes effets pourraient exister chez l’homme.

Les chercheurs ont aussi montré que le contenu en fibres change la composition de la flore bactérienne, en particulier en modifiant le rapport entre les genres Firmicutes et Bacteroidetes.

Un manque de fibres alimentaires favoriserait donc des réactions inflammatoires allergiques dans les poumons. Ceci semble confirmer un lien entre l’alimentation et l’asthme.

 

Source: http://www.lanutrition.fr

Le café

café

Le café, bon ou mauvais pour la santé ? Ce pourrait être une question de quantité, mais aussi d’âge ! Selon une étude publiée dans Mayo Clinic Proceedings, une consommation supérieure à 4 tasses par jour aurait des effets négatifs sur la santé des moins de 55 ans.

Les Français boivent en moyenne 2 tasses de café par jour, les plus gros consommateurs au monde étant les Finlandais avec 5 tasses par jour. Qu’il s’agisse de se réveiller le matin, de partager un moment convivial avec des collègues ou des amis, le café fait partie de notre quotidien.

Des chercheurs américains se sont intéressés à la relation entre la consommation de café et la mortalité. Cette question avait déjà été étudiée par ailleurs puisque des travaux précédents avaient montré que le café améliorait la longévité : dans une vaste étude portant sur des personnes âgées de 50 à 71 ans, la consommation de 4 à 5 tasses par jour diminuait la mortalité de 12 % chez les hommes et de 16 % chez les femmes.

Cependant, qu’en est-il chez les populations plus jeunes ? Pour le savoir, des chercheurs de l’Université de Caroline du Sud, du Centre médical Oschner de la Nouvelle-Orléans et de l’Université de Bath ont utilisé la cohorte ACLS (Aerobics Center Longitudinal Study) qui comprenait plus de 40000 personnes âgées de 20 à 87 ans, majoritairement des hommes. Les participants ont rempli des questionnaires sur leur mode de vie (dont leur consommation de café) et leur historique médical. Le suivi a duré environ 17 ans.

Les personnes qui consommaient le plus de café étaient plus souvent des fumeurs et leur santé cardio-respiratoire moins bonne. Chez les hommes qui buvaient plus de 28 tasses par semaine, il y avait une hausse significative de la mortalité de 21 %. En-dessous de 55 ans, le risque de mortalité toutes causes confondues augmentait de 56 % chez les hommes buvant plus de 28 tasses par semaine ; chez les femmes, les moins de 55 ans qui buvaient plus de 28 tasses par semaine voyaient leur risque de mortalité doubler par rapport à celles qui ne buvaient pas de café. Après 55 ans, aucun effet n’a été observé ; de même, la mortalité par maladie cardiovasculaire ne semblait pas liée à la consommation de café.

Il est vrai qu’une consommation excessive de café est associée à d’autres facteurs défavorables, comme le stress ou le tabagisme. Dans un modèle statistique ajustant les résultats en fonction de différents facteurs (inactivité, indice de masse corporelle, consommation d’alcool, tabagisme, diabète, hypertension…), le risque de décès restait supérieur chez les moins de 55 ans qui buvaient plus de 28 tasses par semaine.

Cette étude présente certaines limites. Par exemple, les auteurs ne distinguent pas les différentes causes de décès des moins de 55 ans, tels que les cancers, suicides, infections… De plus, lorsque les auteurs étudient la mortalité des fumeurs d’une part et des non-fumeurs d’autre part, l’effet du café ne semble pas significatif. Enfin, il faut noter qu’une tasse de café américaine correspond plutôt à la taille d’un mug (soit le volume de deux tasses d’espresso) et que tous les cafés ne contiennent pas la même quantité de caféine.

Pour les chercheurs, les jeunes adultes devraient éviter une consommation excessive de café, notamment à cause de la caféine qui peut provoquer une dépendance. La caféine stimule la libération d’adrénaline, inhibe l’activité de l’insuline et accroît la pression sanguine. Une consommation modérée de café semble inoffensive ; cette étude ne prouve pas que le café est la cause de décès.

En définitive, la question des bienfaits et des risques liés à une consommation importante de café reste sensible. Ainsi, le café est parfois suspecté de causer des troubles gastriques ; une étude a pourtant montré qu’il n’est pas responsable des ulcères de l’estomac et du reflux gastro-oesophagien.

Le blé

Durant les 40 dernières années, les chercheurs ont transformé la plante pour qu’elle soit plus productive et plus résistante à la sécheresse, à la chaleur et au froid. Ce faisant, ils ont modifié son code génétique. En fait, le blé moderne a tellement changé qu’il ne peut même plus survivre à l’état sauvage : pour pousser, il a maintenant besoin de l’intervention humaine. « Or, tous ces changements, très utiles à l’industrie alimentaire, pourraient avoir des conséquences sur notre santé », explique le Dr Davis.

Les gènes du gluten, ces protéines qui donnent aux pains et aux gâteaux leur texture moelleuse, ont également été altérés. Dans une étude menée aux Pays-Bas, des chercheurs ont comparé 36 variétés de blé moderne à une cinquantaine d’autres, cultivées il y a plus de 100 ans. Ils ont constaté que les variétés de gluten impliquées dans la maladie cœliaque se trouvent en plus grand nombre dans le blé moderne. Et comme si cela n’était pas suffisant, le blé d’aujourd’hui contient plus de gluten! Cela explique peut-être la progression fulgurante des cas d’intolérance et de sensibilité au gluten.

Pendant des années, le Dr Davis a incité ses patients à réduire leur consommation de viande et de gras et à augmenter celle de grains entiers. Et il mettait en pratique ses propres conseils nutritionnels, en plus de parcourir à la course de 5 km à 8 km par jour. Pourtant, il ne cessait de prendre du poids, tout comme ses patients, d’ailleurs. Comment expliquer cela? Au fil de ses recherches, il a conclu que le blé augmente le taux de sucre sanguin, ce qui fait grimper la production d’insuline et favorise l’apparition de graisse abdominale. De plus, comme il stimule certains centres du plaisir dans le cerveau, le blé nous ferait manger plus…

Le blé nous ferait vieillir plus vite
Un taux élevé de sucre sanguin nous fait vieillir plus vite. Le glucose réagit avec les protéines pour former des débris qu’on appelle les PTG ou produits terminaux de la glycation. Ces déchets contribuent de façon importante au vieillissement : ils durcissent les artères et le cartilage, voilent le cristallin de l’œil et perturbent les liaisons nerveuses du cerveau. Plus la glycémie est élevée, plus ils sont nombreux et plus le vieillissement s’accélère. Tous les glucides élèvent le taux de sucre sanguin, que ce soit un fruit, des céréales ou des bonbons. Mais selon le Dr Davis, les produits à base de blé sont les plus néfastes.

Le blé favorise l’arthrose
Consommer du blé favorise l’apparition d’une bedaine. Le gras abdominal n’est pas qu’inesthétique. Il cause aussi de l’inflammation dans l’ensemble du corps et contribue à l’apparition de maladies comme le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires et même… l’arthrose. Surprenant, n’est-ce pas? C’est que l’inflammation causée par la graisse abdominale entraîne la production de certaines hormones, comme la leptine, qui contribue à la dégénérescence du cartilage. « L’arthrose n’est donc pas provoquée uniquement par une usure excessive du cartilage, comme on l’a longtemps cru » conclut le cardiologue.

Testez par vous-même en diminuant votre consommation de blé.

Comment se rendre au cabinet?

Cabinet avant les travaux

Anciennement le presbytère de Leers, le cabinet paramédical du 4 place Demonchaux à leers a fait peau neuve en se muant en un magnifique cabinet .
Divisé en 4 locaux (1 cabinet pour Aurélien Guénin pédicure-podologue, 1 cabinet pour Blandine Guénin-Vanbelle Orthoptiste, et une pour Mme Balant sophrologue), le cabinet est également facile d’accès avec un parking de 7 places (dont une pour les personnes à mobilité réduite) réservé aux patients.

A 7 minutes du centre de Toufflers.
A 9 minutes du centre de Lannoy et de Lys-lez-lannoy
A 11 minutes du centre de Wattrelos
A 13 minutes du centre de Roubaix.

Pour vous y rendre, cliquez sur le lien suivant puis sur itinéraire:

Agrandir le plan

Les produits laitiers, la vérité!!

La plupart des gens croit que boire un maximum de produits laitiers est bon pour la santé et pour renforcer ses os.
Malheureusement, cette idée est fausse, vous êtes victimes des lobbys des grandes entreprises commercialisants ces produits et ses dérivés, yaourt, fromage blanc,fromages…

Alors vous allez dire que vous avez entendu dans les médias les recommandations du gouvernement disant qu’il faut boire au moins 3 produits laitiers chaque jour, mais ce que vous ne savez pas c’est que dans ce groupe de 30 personnes 19 appartiennent à ces grandes industries laitières donc pas très neutres comme experts..

L’espèce humaine à survécu et évolué pendant 7 millions d’années sans produits laitiers juste le lait maternel. Résultat: aucune maladie osseuse n’a été recensée

Les pays qui consomment le plus de produits laitiers au monde (les pays scandinaves) ont les os les plus lourds, sont les plus grands, et ont le plus de fractures du col du fémur.

A l’inverse, les populations d’Afrique et certaines d’Asies qui consomment le moins de produits laitiers affichent une santé osseuse parfaite, avec des taux de fracture les plus bas qui soit. Ce n’est pas une coïncidence.

Aujourd’hui, le lait de vache contient une soupe d’hormones sexuelles (œstrogène et progestérone) qui favorise les cancers de l’utérus et celui du sein.

Le lait de vache, c’est d’énorme quantité d’IGF-1. L’IGF-1 est un facteur de croissance qui va booster la prolifération (ou la multiplication) de vos cellules. Vous allez grandir, sauf que… L’IGF-1 développe toutes les cellules de l’organisme, même les pré-cancéreuses et les cancéreuses.

Les protéines du lait de vache sont composées à plus de 80% de caséine. La caséine est publiquement reconnue comme facteur tumorale.

Le lait de vache contient de l’insuline bovine très similaire à celle de l’homme. Mais suffisamment pour que notre système immunitaire ne la reconnaisse pas et l’attaque avec des anti-corps. Ces même anti-corps ne feront ensuite pas la différence entre l’insuline bovine et la nôtre.

Le résultat ? Une maladie auto-immune, nos anticorps détruisent les cellules bêta du pancréas, l’insuline n’existe plus. Vous êtes diabétique de type 1.

Ostéoporose : Après avoir travaillé sur 34 études publiées dans 16 pays, les chercheurs de l’Université de Yale ont conclu que les pays avec le taux le plus élevé d’ostéoporose étaient ceux dans lesquels les gens consomment le plus de viande, de lait et autres produits animaux ! Selon le Dr McDougall : « Pays par pays, les gens qui consomment le plus de calcium ont les os les plus fragiles et les taux les plus élevés d’ostéoporose ».

Allergies : Selon les études de l’Académie Américaine sur les Allergies, l’Asthme et l’Immunologie, le lait de vache est la première cause des allergies alimentaires chez les enfants. 50% des enfants présenterait des allergies au lait. Pour ces enfants, et pour les adultes qui sont allergiques aux produits laitiers, le lait favorise le développement de mucus et de problèmes persistants comme la toux chronique, les infections de la sphère ORL (appareil respiratoire, oreille), l’asthme… De plus en plus de médecins et diététiciens réalisent que le fait de supprimer la consommation de produits laitiers peut être la solution à de nombreux problèmes de maladies infantiles comme la constipation, le nez qui coule, la colique, les infections de l’oreille, les gaz, etc…

En espérant vous avoir convaincu…

Déroulement d’une séance

Une première séance dure entre 45 et 60 minutes en moyenne.
Lors de cette première séance, je fais un point administratif avant de faire un bilan complet sur vos antécédents chirurgicaux, traumatiques, familiaux et médicaux. Ensuite je m’intéresserai à votre motif de consultation.
Puis, je passerai à une phase de test qui s’intéressera au corps dans son ensemble.
Enfin un traitement adapté à chaque patient.

Les séances suivantes, même pour un autre motif, prennent entre 30 et 45 minutes.
Lors de ces séances, le questionnaire sera toujours aussi complet sur votre motif de consultation mais beaucoup plus bref concernant vos antécédents médicaux et chirurgicaux. Les tests et traitements demeurent eux aussi adaptés à ce que je retrouve dans mes tests, c’est-à-dire que chacun est différent donc les traitements seront différents pour chaque personne.

Il est important de savoir qu’une séance d’ostéopathie n’est jamais douloureuse.

Ostéopathie et séniors

Bien vieillir avec l’ostéopathie

Au fil des ans notre corps est sujet à des transformations qui, progressivement, entrainent des diminutions de l’ensemble de ses fonctions, favorisant l’apparition d’incapacités.

Une personne âgée peut se voir au fur et à mesure privée de ses repères, de son potentiel à communiquer correctement avec son entourage et être exposée aux chutes. Elle se retrouve ainsi restreinte dans les actes de sa vie quotidienne.

Bien vieillir

Ces restrictions peuvent dès lors engendrer perte d’autonomie et isolement, et avoir une incidence non négligeable sur le plan psychologique et social.

Être suivi le plus tôt et le plus régulièrement possible par un ostéopathe permet de retrouver et de renforcer ses fonctions en travaillant sur la mobilité générale de son corps.

Promouvoir le « mieux vieillir » en maintenant un bon état global, physique, et psychique de l’individu par une action de prévention tout au long de la vie, garantit son capital santé. Par exemple, les traitements ostéopathiques améliorent l’équilibre, diminuent les douleurs ressenties à court et long termes et ainsi participent à l’amélioration de la qualité de vie.

Trois niveaux de prévention pour promouvoir le « mieux vieillir »

  • La Prévention primaire a pour but de maintenir en bonne santé. Effectuée régulièrement, elle permet d’éviter l’apparition de troubles fonctionnels. Le senior entretien souplesse et équilibre pour pouvoir vivre sans contrainte.
  • La Prévention secondaire soigne le trouble fonctionnel qui est apparu avec le temps ou suite à un traumatisme corporel, et permet d’éviter rechutes et récidives. Lorsque qu’un trouble fonctionnel survient, le suivi ostéopathique permet d’éviter la propagation des maux apparus en d’autres points du corps. Par exemple, une chute peut entrainer un mal de dos qui mal soigné peut engendrer des maux de têtes. Ainsi l’ostéopathe normalise les aléas traumatiques articulaires, freine les impacts infectieux, viraux ou cicatriciels et maintient la mobilité viscérale pour prévenir la dégénérescence des tissus.
  • La Prévention Tertiaire minimise une pathologie déjà présente et cherche à diminuer l’invalidité du patient. Lorsque la maladie est présente, le praticien soutient la santé en minorant les différents troubles annexes et conjoints. Une entorse de la cheville, un lumbago ou une douleur ne peuvent que rajouter à la peine d’une personne atteinte de Parkinson, d’insuffisance respiratoire ou d’un cancer. Lutter efficacement contre les effets néfastes du vieillissement passe obligatoirement par le maintien d’un équilibre postural aussi parfait que possible. Plus tôt la prise en main s’effectue, plus les chances d’éviter une perte de mobilité importante augmentent. Œuvrant dans le domaine de l’innocuité et de la douceur, l’ostéopathie dans sa philosophie, partenaire de santé efficace tout au long du parcours de vie et de ses risques, propose une réponse pour maintenir le bien-être quelque soit l’âge.

Une thérapie originale et naturelle

L’ostéopathie est une méthode thérapeutique ma- nuelle, qui s’emploie à déterminer et à traiter les restrictions de mobilité affectant les différentes structures composant le corps humain. L’ostéopathe Eurost DO exerce dans le cadre d’une approche globale de l’individu et s’appuie sur une connaissance approfondie de l’anatomie et de la physiologie. Il n’utilise que ses mains.

L’ostéopathie repose sur trois concepts originaux :

  • la main, outil d’analyse et de soins
  • la prise en compte de la globalité de l’individu
  • le principe d’équilibre tissulaire.
Bien vieillir

Elle nécessite des compétences spécifiques, une connaissance approfondie du fonctionnement du corps humain et des interactions entre chacun de ses systèmes.

Elle prévient et soigne de nombreux troubles physiques et agit également aux plans nerveux, fonctionnel et psychique.

Elle aide chacun à gérer, de manière responsable et autonome, son “capital vie” pour un mieux-être au quotidien.

Ostéopathie et travail

L’ostéopathie et le monde du travail

Les pathologies liées au travail et au stress

Quel que soit le métier, chacun passe quotidienne- ment de nombreuses heures dans la même posture, ou à répéter le même mouvement. Être assis devant un ordinateur, porter des objets, des caisses ou des outils, faire un travail manuel avec un bras toujours sollicité, ou simplement travailler dans des positions pénibles, sont des facteurs de nombreux troubles musculo-squelettiques (TMS). Le stress et les efforts du quotidien : porter les enfants, faire du ménage, du bricolage, sont également des éléments à prendre en compte.

Comment se manifestent-ils ?
Les troubles du sommeil apparaissent, la concentra- tion au travail devient difficile, les douleurs se font ressentir, et de la fatigue morale peut en découler. Le temps passé au travail est important, et lorsque l’ergonomie est mauvaise, les TMS se manifestent par l’apparition de douleurs et autres gênes diverses.

L’ostéopathie pour tous les métiers

Maçon, agriculteur, vendeur, ouvrier de l’électro- nique, cuisinier, technicien de surface, etc. peuvent être tous sujets à des TMS. Fatigue oculaire, maux de tête, mal de dos, raideur du cou et des épaules, fourmillements dans les doigts, sont les principales pathologies liées au travail sur lesquelles l’ostéopathie peut agir.

Les TMS touchent toutes les professions, quel que soit le secteur d’activité, et représentent plus de 80% des maladies professionnelles actuellement reconnues. À l’écoute de ces affections musculaires ou articulaires liées aux conditions de travail, l’ostéopathe utilise une méthode de soins qui s’emploie à déterminer et à traiter les restrictions de mobilité qui peuvent affecter l’ensemble des structures composant le corps humain.

L’ostéopathie améliore la qualité de vie au travail

L’apparition des premières douleurs et tensions doit inciter à consulter un ostéopathe qui effectuera un bilan complet. Il redonnera au corps sa capacité d’adaptation aux contraintes qu’il subit.

Une prise en charge ostéopathique régulière est encore plus indispensable au corps humain que le contrôle technique d’une automobile, évitant accidents et usures prématurées.

Un traitement pour tous les secteurs d’activités

L’ostéopathie intéresse toutes les professions. Pour exemple :

  • L’ostéopathie et emploi de bureau
    Rester plus de sept heures devant un ordinateur fait appa- raître certains troubles : engourdissements, sensations de brûlure ou fourmillements, faiblesses musculaires, douleurs, palpitations, enflures, sensations de raideur, d’ankylose.
  • L’ostéopathie dans le secteur du bâtiment
    Dans le Bâtiment et Travaux publics, les épaules et le dos sont très sollicités entraînant les pathologies suivantes : sciatique, tendinite de la coiffe des rotateurs, bursite, épicondylite, syndrome du canal carpien, tendinite du tendon d’Achille.
  • L’ostéopathie dans le secteur agricole
    Dans ce secteur, les TMS représentent 95% des maladies professionnelles. Affections périarticulaires, du rachis lombaire, problèmes respiratoires de mécanisme allergique, lésions chroniques de ménisque

Le corps opère une phase d’accumulation silencieuse de tensions et lance un cri d’alarme lorsque ces dernières deviennent plus apparentes, plus inconfortables et constantes. Identifiant l’origine physique des différents troubles liées aux conditions de travail, l’ostéopathe par ses interventions manuelles douces rétablira le bon fonctionnement de l’organisme. Pour soulager le patient il lui rendra sa capacité d’adaptation à son environnement.

Le stress

Un salarié sur cinq déclare souffrir de troubles de santé liés au stress au travail (Source INRS). Le stress provient des agressions extérieures que subit l’organisme : bruit, surmenage, pression, conflits… Il provoque des modifications dans le corps comme système de défense.

Le stress se manifeste sur trois niveaux :

  • augmentation du taux d’adrénaline, qui permet à l’organisme de réagir rapidement (augmentation rythme cardiaque, respiration plus rapide)
  • augmentation du taux de cortisol qui a un rôle d’anti-inflammatoire. Si à cette étape l’organisme réussi à lutter contre le stress, le corps pourra revenir à la normal. Dans le cas contraire, le stress devient chronique et le dernier niveau se met en place.
  • au troisième niveau, le système nerveux, trop sollicité, prend le dessus sur la gestion de nos réserves d’énergie. C’est à ce moment là que les troubles apparaissent. Attention à ce que le stress ne contribue pas à l’installation de maladies chroniques voire dégénératives (tumeurs, maladies auto-immunes, hypertension…).

Les symptômes dus à un état de stress chronique sont :

  • douleurs musculaires et articulaires,
  • maux de tête, troubles du sommeil,
  • troubles de l’appétit et de la digestion,
  • sueurs inhabituelles,
  • mal de dos,
  • nervosité,
  • palpitations.

L’ostéopathie propose une réponse thérapeutique pour les patients souffrant des symptômes dus au stress comme les palpitations, l’angoisse, les douleurs musculaires, les maux de tête. Le rééquilibre du corps peut être obtenue de différentes manières :

  • une action cranio-sacrée ciblant le système nerveux qui gère nos réserves d’énergie et régule l’hyperactivité musculaire,
  • une action viscérale, pour le relâchement des structures environnantes des viscères,
  • une action tissulaire ou respiratoire, via le travail du diaphragme ostéo-articulaire, pour le soulagement des tensions musculaires accumulées.