Le café

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Le café, bon ou mauvais pour la santé ? Ce pourrait être une question de quantité, mais aussi d’âge ! Selon une étude publiée dans Mayo Clinic Proceedings, une consommation supérieure à 4 tasses par jour aurait des effets négatifs sur la santé des moins de 55 ans.

Les Français boivent en moyenne 2 tasses de café par jour, les plus gros consommateurs au monde étant les Finlandais avec 5 tasses par jour. Qu’il s’agisse de se réveiller le matin, de partager un moment convivial avec des collègues ou des amis, le café fait partie de notre quotidien.

Des chercheurs américains se sont intéressés à la relation entre la consommation de café et la mortalité. Cette question avait déjà été étudiée par ailleurs puisque des travaux précédents avaient montré que le café améliorait la longévité : dans une vaste étude portant sur des personnes âgées de 50 à 71 ans, la consommation de 4 à 5 tasses par jour diminuait la mortalité de 12 % chez les hommes et de 16 % chez les femmes.

Cependant, qu’en est-il chez les populations plus jeunes ? Pour le savoir, des chercheurs de l’Université de Caroline du Sud, du Centre médical Oschner de la Nouvelle-Orléans et de l’Université de Bath ont utilisé la cohorte ACLS (Aerobics Center Longitudinal Study) qui comprenait plus de 40000 personnes âgées de 20 à 87 ans, majoritairement des hommes. Les participants ont rempli des questionnaires sur leur mode de vie (dont leur consommation de café) et leur historique médical. Le suivi a duré environ 17 ans.

Les personnes qui consommaient le plus de café étaient plus souvent des fumeurs et leur santé cardio-respiratoire moins bonne. Chez les hommes qui buvaient plus de 28 tasses par semaine, il y avait une hausse significative de la mortalité de 21 %. En-dessous de 55 ans, le risque de mortalité toutes causes confondues augmentait de 56 % chez les hommes buvant plus de 28 tasses par semaine ; chez les femmes, les moins de 55 ans qui buvaient plus de 28 tasses par semaine voyaient leur risque de mortalité doubler par rapport à celles qui ne buvaient pas de café. Après 55 ans, aucun effet n’a été observé ; de même, la mortalité par maladie cardiovasculaire ne semblait pas liée à la consommation de café.

Il est vrai qu’une consommation excessive de café est associée à d’autres facteurs défavorables, comme le stress ou le tabagisme. Dans un modèle statistique ajustant les résultats en fonction de différents facteurs (inactivité, indice de masse corporelle, consommation d’alcool, tabagisme, diabète, hypertension…), le risque de décès restait supérieur chez les moins de 55 ans qui buvaient plus de 28 tasses par semaine.

Cette étude présente certaines limites. Par exemple, les auteurs ne distinguent pas les différentes causes de décès des moins de 55 ans, tels que les cancers, suicides, infections… De plus, lorsque les auteurs étudient la mortalité des fumeurs d’une part et des non-fumeurs d’autre part, l’effet du café ne semble pas significatif. Enfin, il faut noter qu’une tasse de café américaine correspond plutôt à la taille d’un mug (soit le volume de deux tasses d’espresso) et que tous les cafés ne contiennent pas la même quantité de caféine.

Pour les chercheurs, les jeunes adultes devraient éviter une consommation excessive de café, notamment à cause de la caféine qui peut provoquer une dépendance. La caféine stimule la libération d’adrénaline, inhibe l’activité de l’insuline et accroît la pression sanguine. Une consommation modérée de café semble inoffensive ; cette étude ne prouve pas que le café est la cause de décès.

En définitive, la question des bienfaits et des risques liés à une consommation importante de café reste sensible. Ainsi, le café est parfois suspecté de causer des troubles gastriques ; une étude a pourtant montré qu’il n’est pas responsable des ulcères de l’estomac et du reflux gastro-oesophagien.

Le blé

Durant les 40 dernières années, les chercheurs ont transformé la plante pour qu’elle soit plus productive et plus résistante à la sécheresse, à la chaleur et au froid. Ce faisant, ils ont modifié son code génétique. En fait, le blé moderne a tellement changé qu’il ne peut même plus survivre à l’état sauvage : pour pousser, il a maintenant besoin de l’intervention humaine. « Or, tous ces changements, très utiles à l’industrie alimentaire, pourraient avoir des conséquences sur notre santé », explique le Dr Davis.

Les gènes du gluten, ces protéines qui donnent aux pains et aux gâteaux leur texture moelleuse, ont également été altérés. Dans une étude menée aux Pays-Bas, des chercheurs ont comparé 36 variétés de blé moderne à une cinquantaine d’autres, cultivées il y a plus de 100 ans. Ils ont constaté que les variétés de gluten impliquées dans la maladie cœliaque se trouvent en plus grand nombre dans le blé moderne. Et comme si cela n’était pas suffisant, le blé d’aujourd’hui contient plus de gluten! Cela explique peut-être la progression fulgurante des cas d’intolérance et de sensibilité au gluten.

Pendant des années, le Dr Davis a incité ses patients à réduire leur consommation de viande et de gras et à augmenter celle de grains entiers. Et il mettait en pratique ses propres conseils nutritionnels, en plus de parcourir à la course de 5 km à 8 km par jour. Pourtant, il ne cessait de prendre du poids, tout comme ses patients, d’ailleurs. Comment expliquer cela? Au fil de ses recherches, il a conclu que le blé augmente le taux de sucre sanguin, ce qui fait grimper la production d’insuline et favorise l’apparition de graisse abdominale. De plus, comme il stimule certains centres du plaisir dans le cerveau, le blé nous ferait manger plus…

Le blé nous ferait vieillir plus vite
Un taux élevé de sucre sanguin nous fait vieillir plus vite. Le glucose réagit avec les protéines pour former des débris qu’on appelle les PTG ou produits terminaux de la glycation. Ces déchets contribuent de façon importante au vieillissement : ils durcissent les artères et le cartilage, voilent le cristallin de l’œil et perturbent les liaisons nerveuses du cerveau. Plus la glycémie est élevée, plus ils sont nombreux et plus le vieillissement s’accélère. Tous les glucides élèvent le taux de sucre sanguin, que ce soit un fruit, des céréales ou des bonbons. Mais selon le Dr Davis, les produits à base de blé sont les plus néfastes.

Le blé favorise l’arthrose
Consommer du blé favorise l’apparition d’une bedaine. Le gras abdominal n’est pas qu’inesthétique. Il cause aussi de l’inflammation dans l’ensemble du corps et contribue à l’apparition de maladies comme le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires et même… l’arthrose. Surprenant, n’est-ce pas? C’est que l’inflammation causée par la graisse abdominale entraîne la production de certaines hormones, comme la leptine, qui contribue à la dégénérescence du cartilage. « L’arthrose n’est donc pas provoquée uniquement par une usure excessive du cartilage, comme on l’a longtemps cru » conclut le cardiologue.

Testez par vous-même en diminuant votre consommation de blé.

Les produits laitiers, la vérité!!

La plupart des gens croit que boire un maximum de produits laitiers est bon pour la santé et pour renforcer ses os.
Malheureusement, cette idée est fausse, vous êtes victimes des lobbys des grandes entreprises commercialisants ces produits et ses dérivés, yaourt, fromage blanc,fromages…

Alors vous allez dire que vous avez entendu dans les médias les recommandations du gouvernement disant qu’il faut boire au moins 3 produits laitiers chaque jour, mais ce que vous ne savez pas c’est que dans ce groupe de 30 personnes 19 appartiennent à ces grandes industries laitières donc pas très neutres comme experts..

L’espèce humaine à survécu et évolué pendant 7 millions d’années sans produits laitiers juste le lait maternel. Résultat: aucune maladie osseuse n’a été recensée

Les pays qui consomment le plus de produits laitiers au monde (les pays scandinaves) ont les os les plus lourds, sont les plus grands, et ont le plus de fractures du col du fémur.

A l’inverse, les populations d’Afrique et certaines d’Asies qui consomment le moins de produits laitiers affichent une santé osseuse parfaite, avec des taux de fracture les plus bas qui soit. Ce n’est pas une coïncidence.

Aujourd’hui, le lait de vache contient une soupe d’hormones sexuelles (œstrogène et progestérone) qui favorise les cancers de l’utérus et celui du sein.

Le lait de vache, c’est d’énorme quantité d’IGF-1. L’IGF-1 est un facteur de croissance qui va booster la prolifération (ou la multiplication) de vos cellules. Vous allez grandir, sauf que… L’IGF-1 développe toutes les cellules de l’organisme, même les pré-cancéreuses et les cancéreuses.

Les protéines du lait de vache sont composées à plus de 80% de caséine. La caséine est publiquement reconnue comme facteur tumorale.

Le lait de vache contient de l’insuline bovine très similaire à celle de l’homme. Mais suffisamment pour que notre système immunitaire ne la reconnaisse pas et l’attaque avec des anti-corps. Ces même anti-corps ne feront ensuite pas la différence entre l’insuline bovine et la nôtre.

Le résultat ? Une maladie auto-immune, nos anticorps détruisent les cellules bêta du pancréas, l’insuline n’existe plus. Vous êtes diabétique de type 1.

Ostéoporose : Après avoir travaillé sur 34 études publiées dans 16 pays, les chercheurs de l’Université de Yale ont conclu que les pays avec le taux le plus élevé d’ostéoporose étaient ceux dans lesquels les gens consomment le plus de viande, de lait et autres produits animaux ! Selon le Dr McDougall : « Pays par pays, les gens qui consomment le plus de calcium ont les os les plus fragiles et les taux les plus élevés d’ostéoporose ».

Allergies : Selon les études de l’Académie Américaine sur les Allergies, l’Asthme et l’Immunologie, le lait de vache est la première cause des allergies alimentaires chez les enfants. 50% des enfants présenterait des allergies au lait. Pour ces enfants, et pour les adultes qui sont allergiques aux produits laitiers, le lait favorise le développement de mucus et de problèmes persistants comme la toux chronique, les infections de la sphère ORL (appareil respiratoire, oreille), l’asthme… De plus en plus de médecins et diététiciens réalisent que le fait de supprimer la consommation de produits laitiers peut être la solution à de nombreux problèmes de maladies infantiles comme la constipation, le nez qui coule, la colique, les infections de l’oreille, les gaz, etc…

En espérant vous avoir convaincu…